Riad Dar Khmissa Marrakech
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octobre 25, 2018

4 créateurs marocains en vogue à New York

4 créateurs marocains en vogue à New York
Mode, bijoux ou accessoires, les créateurs marocains ont pris d’assaut la grosse pomme.
Par Kaoutar Laili

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MODE – Ils sont jeunes, audacieux et marocains… et ils ont réussi à conquérir la ville qui ne dort jamais. En mode, bijoux et accessoires, voici 4 créateurs marocains bourrés de talents qui ont su s’imposer à New York.

Amina Azreg: Création a l’état brut

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Cette jeune créatrice native de Casablanca s’inspire de son héritage berbère marocain pour proposer une autre vision du vêtement, à la fois brute, intemporelle et terriblement contemporaine. Après un long cursus dans la mode dite “classique”, la jeune femme décide de se lancer dans une approche indépendante, dans laquelle la mode et l’art puisent leur sève dans la mémoire. Amina Azreg dévoile alors sa marque éponyme en plein cœur de New York où elle vient tout juste d’installer sa boutique au pied de l’Empire States Building, le 26 septembre dernier. Sa première collection, Talisman, est une ode à la culture judéo-berbère marocaine, composée de pièces unisexes et monochromes. On y retrouve un clin d’œil au blanc des Haïk portés par les femmes, ainsi qu’au noir, obligatoire pour les juifs marocains jusqu’à la fin du 18ème siècle. A travers sa marque qu’elle qualifie de “Wearable Heritage” (Héritage Portable), Amina nous raconte l’histoire du Maroc “sans clichés” et “sans faire la course à l’originalité”.

www.aminaazreg.com

Mimia Leblanc: tout ce qui brille

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Après avoir réussi à conquérir les stars et la jet-set orientale, de Myriam Fares à Assala Nasri, et enchaîné les parutions dans les magazines, Miryam Labiad alias Mimia Leblanc, a décidé de partir à la conquête des Amériques. Installée entre Paris, Beyrouth et Casablanca, cette créatrice de bijoux de luxe fait son entrée dans la très pointue boutique new-yorkaise Flying Solo, dans le quartier de Broadway. Ses bijoux en or, diamants et pierres précieuses ne se prennent pourtant pas au sérieux, et s’amusent avec glamour et sensualité à faire pétiller les formes et les couleurs. Sa signature? La fleur de lys, qu’elle décline en bagues, sautoirs ou pendants d’oreilles.

www.mimialeblancjewelry.com

Youssef Lahlou: Le chapelier toqué

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En voilà un qui sait faire tourner les têtes. Avec son style bien trempé, Youssef Lahlou est sans nul doute l’une des stars montantes de la création. Repéré par des magazines prestigieux comme Vogue Arabia ou Buro247, le jeune Casablancais basé à New York séduit par l’extravagance bestiale et l’audace de ses créations. Lancée en janvier 2017, sa marque éponyme de chapeaux fait fureur auprès des stars, des magazines de mode et de la jet-set américaine. Ses chapeaux, réalisés dans le plus grand respect de la nature et des animaux, ne comprennent pas de cuir ou de fourrure d’origine animale. Il donne ainsi libre cours à son imagination en façonnant des pièces uniques en feutre ou feutrine, ornées de bijoux en plaqué or 24K, de cristaux de Swarovski, de métal ou encore de résine.

www.yousseflahlou.com

Moroccan Birds: l’ornement prend son envol

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Lancée par Rim et Zineb Debbagh, deux sœurs attachées à la culture de leur pays, Moroccan Birds est une jeune marque new-yorkaise qui fusionne tradition marocaine et esprit bohème à travers des bijoux en argent réalisés à la main de manière artisanale par des mâalems de la région de Tiznit. A travers des collections de colliers, bracelets, bagues et boucles d’oreilles, c’est toute la richesse de la culture marocaine qui prend son envol vers la ville qui ne dort jamais. Des bijoux authentiques, chargés d’histoire et de symboles qui contrastent avec l’éclat clinquant de modernité de New York.

www.moroccan-birds.com

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octobre 24, 2018

Une chèvre pour aider les jeunes filles du Haut Atlas à rester scolarisées

Une chèvre pour aider les jeunes filles du Haut Atlas à rester scolarisées
Par Sufian ZarktiSufian Zarkti
il y a environ 2 jours
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Crédit photo : D.R
Conscient de la situation difficile des jeunes filles du Haut Atlas à poursuivre leur scolarisation, notamment à cause des longs trajets dangereux pour atteindre les écoles trop éloignées, Simo Elalj, un jeune marocain résident à l’étranger, vient de lancer la campagne de collecte de fonds “You Goat Me” pour aider ces filles et sensibiliser davantage de gens à leur situation.

Le jeune marocain a conçu un jouet en caoutchouc sous forme de chèvre baptisé Gabi la chèvre (Gabi the Goat) et inspiré des chèvres des forêts d’arganiers du Maroc. Un jouet qu’il pourrait vendre pour collecter des fonds et aider ces filles à obtenir une meilleure éducation.

Affecté par la situation des jeunes filles du Haut Atlas, et après avoir trouvé une solution de collecte de fond, Simo Elalj s’est allié à Education for All (EFA), un organisme à but non lucratif qui construit et gère des internats permettent aux filles qui souhaitent poursuivre leurs études de vivre plus près de l’école.

Les fonds collectés grâce à l’initiative “You Goat Me” permettront à l’EFA de fournir gratuitement trois repas nutritifs par jour, douches chaudes, lits confortables, accès aux ordinateurs, support d’étude via un programme de volontariat international ainsi que le transport des jeunes filles afin de se rendre chaque jour à l’école.

Pour promouvoir sa campagne, Simo a décidé d’emmener avec lui Gabi la chèvre partout où il va, pour la présenter au monde entier et donner plus de visibilité à cette initiative.

Crédit photo : gabithegoatofficial

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octobre 23, 2018

«Les Marocains» de Leila Alaoui offerts gratuitement au public

SOCIÉTÉ
«Les Marocains» de Leila Alaoui offerts gratuitement au public
Par Stéphanie JACOB | Edition N°:5373 Le 17/10/2018 | Partager
L’initiative du Musée Yves Saint Laurent Marrakech
Une exposition gratuite et une première pour le musée
Une trentaine de portraits dont des inédits
leila_alaoui_marocains_073.jpg
Des femmes, des hommes et des enfants. Au total, une trentaine de portraits pour l’exposition temporaire et gratuite «Les Marocains» de Leila Alaoui au Musée Yves Saint Laurent de Marrakech, du 30 septembre 2018 au 5 février 2019 (Ph. L. Alaoui)

Des photographies dont l’éclat est lui toujours là. Une exposition de Leila Alaoui est forcément un grand moment. D’autant plus quand elle se passe à Marrakech, ville où elle a grandi et où elle repose aujourd’hui.

Du 30 septembre 2018 au 5 février 2019, le Musée Yves Saint Laurent de Marrakech organise une exposition temporaire de la série «Les Marocains» signée par cette photographe franco-marocaine qui a tragiquement succombé à ses blessures après l’attentat de Ouagadougou voilà presque 3 ans.

Pour permettre à tout le monde d’admirer l’un de ses derniers projets, réalisé entre 2010 et 2014, l’accès à la salle est gratuit via une entrée dédiée, rue Al Houdhoud, pendant toute la durée de l’exposition. C’est une première pour le musée.

Car ces portraits font un peu partie du patrimoine et ce regard de la photographe sur ses concitoyens appartient à tous. Ils permettent de voir à quel point la pluralité culturelle est de mise au Maroc. Elle-même disait «puisant dans mon propre héritage, j’ai séjourné au sein de diverses communautés et utilisé le filtre de ma position intime de Marocaine de naissance pour révéler, dans ces portraits, la subjectivité des personnes que j’ai photographiées».

Au total, une trentaine de portraits sont à découvrir, dont certains sont inédits. Des femmes, des hommes et des enfants rencontrés par Leila durant son road trip marocain, avec pour bagage son studio mobile. Leurs mains sont burinées, leurs visages sont souvent graves, pendant que leurs vêtements racontent eux aussi une partie de l’histoire. Mais ce qui reste en tête surtout, ce sont ces regards.

Les yeux fixes et profonds de ceux que la photographe a choisis pour modèles. Voilà tout l’attrait du portrait. Frontal pour celui qui prend la pause comme pour celui qui regarde. La série «Les Marocains» avait déjà été admirée à la Maison européenne de la photographie à Paris, entre novembre 2015 et janvier 2016.

«Leila Alaoui faisait partie de ces gens engagés qui n’hésitent pas à parcourir le monde pour venir au secours des autres, pour témoigner, et c’est là ce qu’elle a fait de plus beau», disait Pierre Bergé à l’occasion de la remise à Leila Alaoui, à titre posthume, de l’insigne de Commandeur de l’Ordre des Arts et des Lettres, le 14 avril 2017 à Marrakech.

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octobre 23, 2018

ANCIENNES MÉDINAS : LE ROI PRÉSIDE UNE IMPORTANTE CÉRÉMONIE À MARRAKECH

SOCIÉTÉ
ANCIENNES MÉDINAS : LE ROI PRÉSIDE UNE IMPORTANTE CÉRÉMONIE À MARRAKECH
22 octobre 2018
médinas mohammed VI
Le Roi Mohammed VI a présidé, lundi à Marrakech, la cérémonie de présentation des mesures prises pour la réalisation des projets inscrits dans le cadre du programme de valorisation de l’ancienne médina de Marrakech, ainsi que les programmes de réhabilitation et de mise en valeur des médinas de Salé, Meknès, Tétouan et Essaouira.

Lors de cette cérémonie, le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, souligné que le programme de mise en valeur de l’ancienne médina de Marrakech (2018-2022), dont la convention de partenariat et de financement a été signée sous la présidence du Roi le 14 mai 2018 à Rabat, mobilise des investissements de l’ordre de 484 millions de dirhams, dont 150 millions comme contribution du Fonds Hassan II pour le développement économique et social.

Le ministre a fait savoir qu’en consécration de la politique éclairée du Souverain visant la préservation et le développement des anciennes médinas, les médinas de Salé, Meknès, Tétouan et Essaouira ont connu la réalisation de plusieurs projets de qualification dont l’impact diffère d’une ville à l’autre.

Ainsi, les projets réalisés dans les anciennes médinas de Salé et de Meknès n’ont pas permis d’atteindre les objectifs escomptés et ceci est dû, en ce qui concerne l’ancienne médina de Salé, aux changements substantiels qu’a connu son tissu urbain et à la détérioration de plusieurs de ses monuments historiques à cause de facteurs naturels et humains, a ajouté le ministre.

Pour ce qui est de la médina de Meknès, il est question de l’importance de la superficie de l’ancienne médina (275 ha) et des joyaux architecturaux et urbains dont elle regorge, a poursuivi A. Laftit, notant que la poursuite de la réhabilitation et de la valorisation des anciennes médinas de ces deux villes nécessite la mobilisation d’importants fonds.

Pour les anciennes médinas de Tétouan et d’Essaouira, il sera procéder à l’élaboration de deux programmes complémentaires pour la valorisation de ces médinas, leur intégration dans leur espace économique et social, et le renforcement de leur attractivité touristique.

Le ministre a relevé, dans ce sens, qu’en application des Hautes Instructions Royales, il a été procédé à l’élaboration de deux programmes de réhabilitation et de valorisation des anciennes médinas de Salé (900 MDH) et de Meknès (800 MDH) et de deux autres programmes complémentaires pour les anciennes médinas de Tétouan (350 MDH) et Essaouira (300 MDH).

Le Souverain a, ensuite, présidé la cérémonie de signature de quatre conventions relatives aux programmes de réhabilitation et de mise en valeur des anciennes médinas de Salé, Meknès, Tétouan et Essaouira.

SM le Roi a, par la suite, procédé au lancement du projet de réhabilitation et de restauration de l’école “Sidi Abdelaziz” afin qu’elle abrite un Centre dédié au renforcement des compétences des femmes artisanes.

Ce Centre, dont la réalisation nécessite des investissements de l’ordre de 10,9 MDH, offrira aux jeunes filles et femmes une qualification professionnelle adaptée à la réalité socio-économique du secteur de l’artisanat, principalement à travers le mode de formation par apprentissage.

Ce projet, qui vient consolider la vocation du secteur de l’artisanat en tant que source de création d’emplois et de valeur ajoutée, devra favoriser l’intégration des femmes bénéficiaires dans le marché du travail, la préservation de certains métiers menacés de disparition, la promotion des produits locaux d’artisanat et le renforcement de l’organisation et de la structuration du secteur.

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octobre 13, 2018

Maroc >> Marrakech Safi >> Marrakech

MARRAKECH

Envie de découvrir Marrakech ? Il y a mille et une façons de le vivre. Quelle que soit la façon avec laquelle vous choisirez de vivre Marrakech, vous emporterez certainement un peu de Marrakech en vous, c’est un endroit plein de surprises ! Avec ses innombrables marchés, jardins, palais et mosquées, vous en aurez plein la vue. Marrakech, appelée aussi la ville rouge est la quatrième plus grande ville du Royaume après Casablanca, Fès et Tanger avec 928 850 habitants en 2014, elle demeure la capitale touristique du pays.

Plus qu’une cité, Marrakech est une perle polie par l’histoire et le goût de l’accueil, sachant accueillir ses invités à bras ouverts depuis des siècles. La ville est subdivisée en deux parties distinctes : la ville nouvelle (ou moderne) on y trouve de nombreux complexes hôteliers, boutiques de luxe, banques, salons de thé et terrasses de café et la médina ou ville historique (dix kilomètres d’enceinte), il est aisé d’imaginer les caravaniers qui chargeaient leurs dromadaires de denrées, d’outils et d’objets artisanaux. 

Les souks offrent tout ce que le voyageur attend : couleurs, ambiances, parfums, visages souriants et accueillants. Marrakech célèbre dans le monde entier pour sa palmeraie et son minaret, cette ville est un véritable spectacle vivant où les hommes et le folklore local sont habilement mis en scène dans un décor médiéval. Un patrimoine culturel impressionnant avec de nombreux monuments et des musées de qualité. 

C’est tout simplement Magique ! Son économie repose essentiellement sur le tourisme, le commerce et l’artisanat. L’infrastructure hôtelière a connu ces dernières années une croissance rapide et elle s’oriente désormais vers le tourisme de luxe. Connue aussi par la Place Jemaa El Fna , la ville phare des Almoravides est fondée vers 1070, elle est aussi connue par de grands évènements et festivités comme : Festival des arts populaires de Marrakech, Festival international du film de Marrakech, Arts in Marrakech, Festival Samaa des musiques sacrées, festival de danse contemporaine, Sun festival : festival national des jeunes et de la musique. 

Marrakech est en effet devenue une des destinations favorites pour les célébrités qui aiment son charme très bien préservé qui sait allier luxe, raffinement et authenticité. La ville a ainsi été qualifiée de « rêve des milles-et-une nuits » par Arielle Dombasle. Marrakech devient alors un lieu réputé pour sa culture, ses arts, ses traditions et son patrimoine architectural qui séduit peu à peu un grand nombre d’artistes de renom.

INFORMATION SUR MARRAKECH
Région: Marrakech Safi

QUE VOIR QUE FAIRE À MARRAKECH
https://www.officetourismemaroc.com/monument/Koutoubia.html

https://www.officetourismemaroc.com/monument/jemaa-el-Fna.html

https://www.officetourismemaroc.com/monument/jardins-de-Majorelle.html

https://www.officetourismemaroc.com/monument/Palais-de-la-Bahia.html

https://www.officetourismemaroc.com/monument/les-tombeaux-saadiens.html

https://www.officetourismemaroc.com/monument/La-Medersa-Ben-Youssef.html

https://www.officetourismemaroc.com/monument/menara.html

https://www.officetourismemaroc.com/monument/musee-Dar-Si-Said.html

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octobre 11, 2018

NOUVELLE TABLE : +61

NOUVELLE TABLE : +61
Resto61
Qu’il est mignon ce petit restaurant avec ses couleurs tendres… Mais c’est par la carte que vous allez vous faire surprendre. Dans vos assiettes, de vraies saveurs comme on en goûte que trop rarement !

Le seuil passé, on craque pour la déco girly, la blancheur de la salle, les quelques touches de vieux roses et de verts clairs, les luminaires en cuivre à l’esprit 70… A l’origine de ce projet : Cassy, une Australienne (d’où le nom, +61, indicatif téléphonique de l’Australie) qui avait envie de retrouver à Marrakech la cuisine de sa terre natale. Une cuisine de saison où la qualité du produit fait toute la différence. Associée à Sébastien du Nomad café – dont la réputation n’est plus à faire -, ils ont recruté un chef australien pour donner naissance à ces plats si riches en saveurs.
A la carte : Grissini noix de cajou amalou, sepia céleri citron préservé, burrata poivrons rôtis olives, côtes d’agneau balsamique romarin, mallorredus palourdes calamars chili pangrattato, entrecôtes rôties à feu bas, coquelet courgette maïs doux… Attention, les
accompagnements changent très régulièrement en fonction des saisons et surtout des arrivages. Pour finir : gâteau de polenta pêches crème au gingembre, panacotta de ricotta caramel d’expresso, tarte aux prunes et aux figues frangipane… Côté prix, comptez entre 30 et 110 Dh pour les entrées, de 80 à 130 Dh pour les plats et 70 Dh pour les desserts.
Pour le moment, le +61 n’est ouvert que pour le déjeuner. D’ici quelques semaines, on devrait également pouvoir y dîner et surtout goûter à une carte de cocktails assez exceptionnels, accompagnés de jolies assiettes à partager.

+61
96 rue Mohamed El Beqal
Guéliz
05 24 20 70 20

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